Sur le terrain
Photos des derniers jours...
La nouvelle doyenne, Arpège, chatte édentée que nous devons nourrir avec de la pâtée...
Lucius, plus connu jusque là comme "papa d'Electron", et qui non seulement ne détale plus quand il voit un humain l'approcher mais se laisse parfois caresser... Lucius, longtemps solitaire est devenu le grand copain d'Elliott, le pacha avec qui nous le surprenons depuis quelques jours, faisant leur sieste côte à côte, sous le regard de Perplexe...
Un nouveau venu à la robe étrange : sera t'il uniquement de passage ou bien parviendra t'il à se faire une petite place sur le site ?
Autre "pensionné" du secteur neuro : Charly ou Tango ? J'ai bien du mal à les différencier...
Et puis, et puis... Dimitri...
Dimitri n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre et je n'ai pas non plus fini de me prendre en pleine figure l'épisode de son trappage suivi de sa relache.
Ce matin, une infirmière de neuro que je ne connaissais pas et qui s'occupe des chats de ce secteur, a encore enfoncé le clou, histoire de réveiller un peu l'amertume et la culpabilité, au cas où elles auraient eu tendance à s'assoupir, ce qui n'est pas le cas. Et je sais que je l'aurais fait à sa place et à juste titre. Au moins je sais que je ne suis pas tout seul à être amer au sujet de Dimitri.
Cet épisode matinal met certes le doigt là où cela fait mal, mais il témoigne de l'attachement profond et protecteur de certains membres du personnel hospitalier pour les matous de l'hôpital, ce qui en soit est rassurant. Il témoigne aussi que nous n'avons pas droit à l'erreur. Pas tant parce qu'une erreur peut entacher la crédibilité de notre action : que valent en effet 30 chats retirés d'autres endroits de site et bien placés, pour un protecteur qui voit notre seule tentative sur son secteur se solder par un gâchis ? Nous n'avons pas le droit à l'erreur parce que nous n'avons tout simplement pas le droit de gâcher les chances d'un matou.
En tous cas, il s'avère que tous ceux qui s'occupent des chats de l'hôpital ne se connaissent pas encore. Nous avons notre expérience de la sociabilisation. D'autres connaissent bien mieux que nous certains matous. C'est sans doute en unissant nos potentiels, que nous parviendront à assurer à chacun de ces petits félins, le cadre de vie et la protection qui correspondent le mieux à ce que nous seront parvenus à saisir d'eux.
La nouvelle doyenne, Arpège, chatte édentée que nous devons nourrir avec de la pâtée...
Lucius, plus connu jusque là comme "papa d'Electron", et qui non seulement ne détale plus quand il voit un humain l'approcher mais se laisse parfois caresser... Lucius, longtemps solitaire est devenu le grand copain d'Elliott, le pacha avec qui nous le surprenons depuis quelques jours, faisant leur sieste côte à côte, sous le regard de Perplexe...
Un nouveau venu à la robe étrange : sera t'il uniquement de passage ou bien parviendra t'il à se faire une petite place sur le site ?
Autre "pensionné" du secteur neuro : Charly ou Tango ? J'ai bien du mal à les différencier...
Et puis, et puis... Dimitri...
Dimitri n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre et je n'ai pas non plus fini de me prendre en pleine figure l'épisode de son trappage suivi de sa relache.
Ce matin, une infirmière de neuro que je ne connaissais pas et qui s'occupe des chats de ce secteur, a encore enfoncé le clou, histoire de réveiller un peu l'amertume et la culpabilité, au cas où elles auraient eu tendance à s'assoupir, ce qui n'est pas le cas. Et je sais que je l'aurais fait à sa place et à juste titre. Au moins je sais que je ne suis pas tout seul à être amer au sujet de Dimitri.
Cet épisode matinal met certes le doigt là où cela fait mal, mais il témoigne de l'attachement profond et protecteur de certains membres du personnel hospitalier pour les matous de l'hôpital, ce qui en soit est rassurant. Il témoigne aussi que nous n'avons pas droit à l'erreur. Pas tant parce qu'une erreur peut entacher la crédibilité de notre action : que valent en effet 30 chats retirés d'autres endroits de site et bien placés, pour un protecteur qui voit notre seule tentative sur son secteur se solder par un gâchis ? Nous n'avons pas le droit à l'erreur parce que nous n'avons tout simplement pas le droit de gâcher les chances d'un matou.
En tous cas, il s'avère que tous ceux qui s'occupent des chats de l'hôpital ne se connaissent pas encore. Nous avons notre expérience de la sociabilisation. D'autres connaissent bien mieux que nous certains matous. C'est sans doute en unissant nos potentiels, que nous parviendront à assurer à chacun de ces petits félins, le cadre de vie et la protection qui correspondent le mieux à ce que nous seront parvenus à saisir d'eux.